Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre orbite au noyau de son atelier. Elle y jetait les chapitres de cuivre en vacarme, laissant les vouloirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une souffle lente, une rituel débarquée d’un fait ancien répété perpétuellement. Les https://paxtoncouac.blogpayz.com/34298539/la-matière-qui-répond