Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les gens. Elle restait enfermée dans son ateliers, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, empruntant la voie de les formules médiévales avec ombrage. Les flacons comportant les permis tristes étaient méticuleusement étiquetés et rangés à https://dftsocial.com/story20161853/le-parfum-de-l-avenir