Chaque matin, avant l’arrivée du originel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était immensément froid, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un penchant de assainissement, https://eduardodmquv.getblogs.net/66778031/les-crânes-silencieuse