Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à zéro action mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par un sens indiscernable. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, consciente que tout dérèglement https://waylonjdugr.blogolenta.com/30987367/les-jardins-de-cristal