L’archéologue scrutait l’horizon, les sables dorées s’étirant de façon identique à un océan figé par-dessous l'éclairage du soleil déclinant. Le vent continuait de allumer des volutes de poussière, mais son corps était ailleurs. Les ombrages qu’il avait vues une période plus tôt n’avaient laissé zéro trace, aucune sceau dans le https://voyantmail35431.blogtov.com/14313175/le-sable-et-les-astres