Le musée, solitaires sur des décennies, s’étendait dans une obscurité silencieuse, où seuls neuf ou 10 rayons de lumière filtrant par les vitraux fissurés illuminaient les salles désertes. Adrien, conservateur d’art, progressait doucement par les couloirs poussiéreux, son regard particulier sur les toiles accrochées aux murs décrépits. Depuis un grand https://tituszgjkj.kylieblog.com/34327021/l-effacement-progressif