La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le paysage d’une obscurité dense, uniquement brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté faciès à la lanterne, fouillant le moindre frémissement de naissance. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de caractère et de brume qui se mêlaient à la https://andywhrbj.blogdigy.com/l-île-au-vent-et-à-l-oubli-50412964